même toi
qui est si grand et si fort
tu t'abandonnes
au doux murmure du vent
.
et ainsi chante-t-il
jusqu'à ce que le souffle perde son sens
et tu te laisses bercer
au gré de sa déchéance
du sifflement glacial
à la brise enivrante
mon coeur de feuilles et de racines
d'un bonheur intimement éphémère
du sifflement glacial
à la brise enivrante
mon coeur de feuilles et de racines
d'un bonheur intimement éphémère
à T-R
J'aime vraiment beaucoup les images. L'idée de l'abandon, je vois l'arbre qui danse sous la brise; et le chant, on entend le vent dans les feuilles. C'est vraiment doux. Xx
RépondreSupprimerPS: c'est cool, pour publier le commentaire, je devais taper les lettres qui étaient écris, puis c'était : vaggyte. Et j'ai pensé à vaginite, évidemment, et sur le coup, ça m'a valu un rire étouffé. Bonne nuit.
RépondreSupprimerC'est toi qui a écrit ça la belle?
RépondreSupprimerOui !:)
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