samedi 28 novembre 2009

Caresse végétale

même toi
qui est si grand et si fort
tu t'abandonnes
au doux murmure du vent
.
et ainsi chante-t-il
jusqu'à ce que le souffle perde son sens
et tu te laisses bercer
au gré de sa déchéance

du sifflement glacial
à la brise enivrante
mon coeur de feuilles et de racines
d'un bonheur intimement éphémère

à T-R

4 commentaires:

  1. J'aime vraiment beaucoup les images. L'idée de l'abandon, je vois l'arbre qui danse sous la brise; et le chant, on entend le vent dans les feuilles. C'est vraiment doux. Xx

    RépondreSupprimer
  2. PS: c'est cool, pour publier le commentaire, je devais taper les lettres qui étaient écris, puis c'était : vaggyte. Et j'ai pensé à vaginite, évidemment, et sur le coup, ça m'a valu un rire étouffé. Bonne nuit.

    RépondreSupprimer
  3. C'est toi qui a écrit ça la belle?

    RépondreSupprimer